Ce livre retrace l’histoire de la mobilisation de l’opinion publique contre les OGM.

Dans cet ouvrage, Alistair Smith retrace l’initiative internationale qui a permis de relier les petits producteurs, les travailleurs des plantations et les consommateurs des pays du Nord, et de faire naître la banane équitable. C’est le début d’une longue saga, dont les grandes compagnies bananières et les organismes internationaux de régulation deviendront progressivement des acteurs essentiels, et qui mènera à la construction d’une filière aussi durable que possible.

Bernard Lietaer et Margrit Kennedy démontrent que des organisations ayant une bonne connaissance des attentes au niveau local sont plus à même de remplir des missions sociales. Ils militent pour que les initiatives de portée nationale ou européenne soient soutenues par l’introduction de monnaies régionales.

L’eau est un bien public qui a subi, dans les années 1990, une grande vague de privatisation, censée entraîner une plus grande efficacité et étendre l’accès à l’eau et à l’assainissement aux populations pauvres jusque-là non desservies. Cela a été un échec retentissant.

Corinne Lepage retrace la saga des OGM en Europe, les conflits d’intérêt, les défaillances des autorités publiques et le combat mené pour la transparence sur les effets des OGM.

Jamais la démocratie n’a été aussi ardemment désirée par ceux qui en sont privés. Rarement elle a autant déçu ceux qui en jouissent. Fondements de la démocratie de demain.

Quand l'écosystème néolibéral s'installe progressivement autour des ONG humanitaires.

Une utopie aussi vieille que la guerre.

Le culturoscope est un outil d’interrogation et de décodage culturel destiné à tous ceux qui sont ou seront immergés dans un milieu culturel différent du leur : étudiants, expatriés, coopérants, travailleurs sociaux, ou encore managers d’équipes multiculturelles.

Harald Welzer explore dans cet ouvrage les ressorts de la consommation et du théâtre des illusions politiques dans lequel elle évolue. Son analyse ouvre la voie à de nombreuses alternatives de résistance fondées sur le bien commun et la capacité retrouvée à penser par soi-même, qui permettront de construire ensemble un avenir souhaitable.

La technologie du peer-to-peer permet un échange direct de données entre ordinateurs, sans passer par des serveurs centralisés et peut être considérée comme un nouveau modèle de relations humaines.

Les monnaies sociales et complémentaires permettent de doter les territoires d’une richesse, pour que la monnaie reste un commun, mis au service d’un développement territorial durable.