Peu évoquée en France et en Europe, la criminalité en col blanc a joué un rôle prépondérant dans l’avènement de plusieurs crises financières, qu’il s’agisse de la crise des savings and loan dans les années 1980 ou plus récemment de celle dite des subprimes, avec les conséquences catastrophiques que l’on sait sur toutes les économies du globe.

Il devient urgent de se préparer aux impacts du réchauffement climatique, à la dégradation accélérée de notre environnement et à la raréfaction des ressources qui maintiennent notre civilisation en vie.

À contre-courant du modèle productiviste encourageant la standardisation, les pionniers en agroécologie ont développé en quelques années de nouvelles pratiques d’utilisation de la diversité cultivée à partir de semences paysannes.

Conçu comme un guide, cet ouvrage propose au lecteur une série de « réflexes de questionnement », qui permettent de revisiter des notions trop vite supposées communes, et de plonger dans la diversité des univers géo-culturels et socio-professionnels.

La communication, au cœur du système économique, influence l’activité même de ceux qui communiquent mais aussi les attentes de ceux qui sont exposés aux messages. Manipulation, lobbying, mensonges… En réaction aux pratiques les plus détestables, la communication dite responsable est en train d’émerger, qui consiste en une prise de conscience de ses impacts négatifs (environnementaux, sociétaux) et en un effort pour les limiter, dans l’intérêt de tous.

Développement de l’ensemble des potentialités productives propres à chaque ferme, logique qui s’éloigne de celle des marchés, Jan Douwe van der Ploeg décrit les mécanismes tant spatiaux que temporels qui permettent à la repaysannisation de se mettre en place, et de devenir l’expression moderne du combat pour l’autonomie.

Amiante, Mediator, OGM... Mieux comprendre le lobbying et les conflits d’intérêt pour développer des alternatives et encourager la participation citoyenne.

Pour proposer une réponse aux multiples crises, économiques, sociales et environnementales, que connaît la notre société actuelle, David Bollier invite à revenir sur la notion de « communs », un ensemble de pratiques sociales collectives que la modernité industrielle a fait progressivement disparaître.

Le caractère limité de l’eau douce disponible est aujourd’hui une réalité incontestable et engage à revoir de toute urgence la manière d’estimer notre consommation d’eau. Le concept d’empreinte eau s’inspire de la notion d’empreinte écologique et tente d’estimer l’intégralité des quantités d’eau dépensées.

L'avenir viendra des associations, c'est pas à Alterlibris qu'on vous dira le contraire !